La Française enlevée au Yémen s'apprêtait à quitter le pays

La trentenaire, Nike Tn enlevée mardi par des hommes armés, est originaire d'Angers et travaillait dans la capitale du pays pour le compte d'une société de conseil américaine.
Isabelle Prime n'était pas une tête brûlée. Selon son père, la jeune femme enlevée hier à Sanaa, la capitale du Yémen, était même prudente et en relation avec les services locaux de sécurité. Une attention qui n'a pas suffi à la préserver dans un des pays les plus risqués au monde en ce moment pour les Occidentaux. Elle a été enlevée mardi, avec sa traductrice et son chauffeur, qui aurait été relâché. L'action aurait été menée par des hommes déguisés en policiers.
Selon Presse Océan ,cette trentenaire est née à Châteaubriant (44), dans l'ouest de la France. À l'âge de 7 ans, Nike Tn Pas Cher elle déménage à Angers où elle effectue sa scolarité. Elle étudiera par la suite un an en Californie, puis trois années l'économie à Angers. Suivront l'université polytechnique de Valence, la Reims Management School, un an à Sciences Po Paris, puis l'université de Turin.
La jeune femme aime parcourir le monde. Une amie de sa famille témoigne à la radio RTL: «C'est sa vie de voyager.» Elle accepte un poste en Jordanie, puis en Equateur, où elle est embauchée par Ayala Consulting, une société basée à Miami.
En 2013, elle témoigne dans un programme de France 3. Elle y évoque rapidement sa vie en Amérique du Sud, explique qu'elle travaille «dans la mise en place de programmes pour le développement économique».
Elle s'est ensuite envolée pour le Yémen et sa capitale, Sanaa. «C'est une région du monde qui m'intéresse, Cheap Jordan Shoes de même que le projet», indiquait-elle, en avril 2014, au Courrier de l'Ouest. «En tant que chef de mission, j'étais chargée de trouver.