Les recherches ne seront sans doute pas simples. Tn Requin Au lendemain de l'enlèvement de la Française Isabelle Prime à Sanaa, capitale du Yémen, la famille de son interprète, qui a également été enlevée, a indiqué mercredi 25 février avoir sollicité l'intervention de chefs tribaux, du ministère de l'Intérieur et de miliciens Houthis pour obtenir la libération des deux femmes.
L'identité des ravisseurs de la Française Isabelle Prime, 30 ans, et de son interprète yéménite Chérine Makkaoui n'est pas connue et le rapt n'a pas été revendiqué, ce qui réduit d'autant plus la marge de manœuvres des autorités françaises, dont "tous les services sont mobilisés" dans ce dossier, a assuré Laurent Fabius mercredi matin.
Qui sont les ravisseurs?
"Nous avons contacté différents chefs tribaux (dans la capitale) Sanaa, dans les provinces de Jawf (nord) et de Marib (centre) pour nous assurer de leur collaboration en vue de la libération des deux femmes", Tn Nike a déclaré à l'AFP Yassine Makkaoui, oncle de Chérine Makkaoui.
"Nous avons également contacté, dans le même but, le ministère de l'Intérieur et les Houthis", ces miliciens chiites qui contrôlent en grande partie Sanaa depuis septembre, a-t-il ajouté. Ce dernier a rejeté sur les Houthis la responsabilité de l'enlèvement, sans les accuser explicitement d'en être les auteurs.
"L'enlèvement s'est passé en plein jour dans le centre de Sanaa où les Houthis sont responsables du maintien de l'ordre", a-t-il dit. "Ils contrôlent à la fois les ministères de la Défense et de l'Intérieur et nous les rendons responsables" du sort des deux femmes, a-t-il ajouté.
Cependant, dans la confusion qui règne à Sanaa, rien n'indique de manière évidente que des Houthis ont été directement impliqués dans ce rapt. Dans le passé, de nombreux auteurs d'enlèvement ont utilisé des uniformes de la police ou de l'armée et des véhicules officiels pour des enlèvements, Nike
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